Mille Oreillers

Mille Oreillers - Taie percale coton naturel écru BIO - 40x60 cm

Mille Oreillers - Taie percale coton naturel écru BIO - 40x60 cm
Code CIP: 3760169130549   Photo non contractuelle

Mille Oreillers - Taie percale coton naturel écru BIO - 40x60 cm


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Réalisées dans un coton bio de couleur naturelle écrue très doux au toucher, ces taies permettent d'habiller tous nos formats d'oreillers pour un plus grand confort.   L'achat du linge de lit en coton bio est un véritable achat citoyen quand on connaît les ravages sur l'environnement et la santé provoqués par la culture intensive du coton conventionnel. C'est aussi la garantie d'un confort sain et authentique tant cette toile se révèle douce et soyeuse au contact du visage. Ces taies constituent le complément idéal de tous les coussins naturels.   Les pesticides du coton, un désastre sanitaire et environnemental : 2,4% des surfaces cultivées dans le monde, mais 24% des insecticides utilisés sur la planète, jusqu’à 30 traitements par an, 1 million de personnes intoxiquées et 22.000 morts chaque année (chiffres de l’O.M.S.). Tel est le bilan écologique et sanitaire que l’on peut dresser aujourd’hui de la culture du coton. La mer d’Aral irrémédiablement polluée et en grande partie asséchée, c’est la conséquence de la monoculture chimique irriguée du coton, développée depuis 1960 autour de cette mer intérieure, une des plus grandes au monde. On trouve, dans les anciennes républiques soviétiques qui bordaient la mer d’Aral comme ailleurs, parmi les produits utilisés pour la culture du coton, des fongicides, des insecticides (y compris des organochlorés interdits en Europe comme le DDT ou le lindane), des désherbants, et des défoliants pour permettre la récolte mécanique.   Pourquoi la culture du coton est-elle la plus traitée au monde, alors que cette plante a été cultivée pendant des millénaires sans aucun apport chimique ? Aux causes habituelles de la multiplication des traitements chimiques en agriculture – mono culture, variétés sélectionnées, recherche du rendement maximum – s’ajoute le fait que nul ne s’est préoccupé de la présence d’éventuels résidus, puisque le coton n’est pas une culture alimentaire. Et peu importe si les petits paysans des pays pauvres s’intoxiquent ! Extrait de l’ouvrage « Vêtement, la fibre écologique », de Myriam Goldminc et Claude Aubert, aux Editions Terre Vivante.   Composition : 100% coton, aspect naturel écru, certifié issu de l'Agriculture Biologique. Confection : taie droite sans volant avec large rabat intérieur.   Mode d’emploi :  Lavage en machine jusqu'à 60°.   Conditionnement : Boite carton recyclé.
Laboratoire : Mille Oreillers

Réalisées dans un coton bio de couleur naturelle écrue très doux au toucher, ces taies permettent d'habiller tous nos formats d'oreillers pour un plus grand confort.

 

L'achat du linge de lit en coton bio est un véritable achat citoyen quand on connaît les ravages sur l'environnement et la santé provoqués par la culture intensive du coton conventionnel. C'est aussi la garantie d'un confort sain et authentique tant cette toile se révèle douce et soyeuse au contact du visage. Ces taies constituent le complément idéal de tous les coussins naturels.

 

Les pesticides du coton, un désastre sanitaire et environnemental :

2,4% des surfaces cultivées dans le monde, mais 24% des insecticides utilisés sur la planète, jusqu’à 30 traitements par an, 1 million de personnes intoxiquées et 22.000 morts chaque année (chiffres de l’O.M.S.). Tel est le bilan écologique et sanitaire que l’on peut dresser aujourd’hui de la culture du coton.

La mer d’Aral irrémédiablement polluée et en grande partie asséchée, c’est la conséquence de la monoculture chimique irriguée du coton, développée depuis 1960 autour de cette mer intérieure, une des plus grandes au monde. On trouve, dans les anciennes républiques soviétiques qui bordaient la mer d’Aral comme ailleurs, parmi les produits utilisés pour la culture du coton, des fongicides, des insecticides (y compris des organochlorés interdits en Europe comme le DDT ou le lindane), des désherbants, et des défoliants pour permettre la récolte mécanique.

 

Pourquoi la culture du coton est-elle la plus traitée au monde, alors que cette plante a été cultivée pendant des millénaires sans aucun apport chimique ? Aux causes habituelles de la multiplication des traitements chimiques en agriculture – mono culture, variétés sélectionnées, recherche du rendement maximum – s’ajoute le fait que nul ne s’est préoccupé de la présence d’éventuels résidus, puisque le coton n’est pas une culture alimentaire. Et peu importe si les petits paysans des pays pauvres s’intoxiquent !

Extrait de l’ouvrage « Vêtement, la fibre écologique », de Myriam Goldminc et Claude Aubert, aux Editions Terre Vivante.

 

Composition :

100% coton, aspect naturel écru, certifié issu de l'Agriculture Biologique.

Confection : taie droite sans volant avec large rabat intérieur.

 

Mode d’emploi : 

Lavage en machine jusqu'à 60°.

 

Conditionnement :

Boite carton recyclé.

 


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